bon voila j'ecris beaucoup donc je voulais vous mettre une de mes petites histoires mais je precise tout de suite elle ne sont pas tres joyeuse.
Cela faisait plusieurs mois déjà que je te regardais. Trop longtemps déjà. J’aurais voulus te le dire plus tôt. Mais chaque fois que j’ai voulus le faire. Je n’ai pas eu le courage nécessaire. Je ne savais pas comment te l’annoncer. Je n’en avais jamais parlée à personne. Je ne sais même pas pourquoi d’ailleurs. Peut être que j’avais peur que mon cœur ne saigne plus encore. Jusqu’au jour ou Matt est arrivé. Bel homme, musclé, gentil et protecteur. On est devenu de bons amis Matt et moi. Il m’a écouté, quand je pleurais il savait sécher mes larmes. Quand j’étais avec lui, j’arrivais a ne plus penser a toi. Un jour de printemps, où le soleil brillait haut et chaud, Matt m’a avoué qu’il ressentait plus que de l’amitié pour moi. Quand il me l’a dis, je l’ai vu rougir et il étais plus beau que jamais a ce moment. Oui j’ai pensé à dire non. Tu étais toujours présent. Mais Il est vrai aussi que Matt m’attirais aussi. Alors j’ai dis oui. Cela faisais deux semaines que je sortais avec Matt quand je t’ai croisé dans la rue. J’étais avec lui. Toi, tu étais seul. Tu m’as regardé avec un regard que je ne te connaissais pas. Puis tu es passé à coté de moi sans un mot. Pardonne moi de ne pas m’être retourné. De n’avoir pas vu ton appel. Un mois après, une copine Meg, m’as demandé de te parler. Tu n’étais pas bien. J’ai répondu que tu n’étais pas la quand moi j’étais pas bien. Je ne suis pas venue. Une semaine plus tard, j’ai appris qui étais Matt. Il étais ton ancien ami, devenu un ennemi pour je ne sais quelles raisons. Il m’as dis qu’il ne sortais avec moi que pour te voir te détruire. Quand j’ai appris ça, je suis partie en disants que je ne voulais plus jamais le revoir. Il m’a laissé partir. Des larmes provenant de mon cœur blessé coulaient le long de mes joues. Je n’avais pas compris pourquoi il m’avait tout avoué. J’aurais du pourtant savoir qu’il ne le faisait pas sans raison. En rentrant, une lettre était posée devant ma porte. Je l’ai prise et je l’ai ouverte. Elle était de toi.
« S’il te plais, je sais que tu m’aimais. Et si c’est vrai alors tu accepteras de me pardonner. Je me suis rendu compte trop tard que Meg n’étais pas pour moi. Cela faisais plusieurs mois que j’essayais de lui plaire. Mais lorsque je t’ai vu dans la rue avec Matt, j’ai compris que j’avais fais une erreur. Pardonne moi. »
De nouvelles larmes ont coulées. Tu m’aimais et je n’ai rien vu. Non, je n’ai rien voulu voir. J’ai courue jusque chez toi. Pendant plus d’une demi-heure, j’ai courue pour te voir. Je suis arrivée à l’angle de ta rue en même temps que l’ambulance. Je n’ai pas pensé qu’elle étais la pour toi jusqu’à ce que je la vois devant chez toi. Je me suis approchée. J’avais peur. Ta mère est sortie. Elle pleurait, les mains couvertes de sang. J’ai vu les brancardiers sortir de chez toi. Un drap posé sur un corps. Sur ton corps. J’ai courus jusqu’au brancard. J’ai demandé ce qu’il c’étais passé. Mais ils n’ont pas voulus répondre. Lorsque ta mère m’a vu, elle s’est approchée de moi. Elle m’as dis que tu avais laissé quelque chose pour moi. Puis elle est montée dans l’ambulance. J’ai regardé le petit paquet qu’elle venait de me donner. Je n’avais pas la force de rentrer chez moi. Je me suis assise sur le trottoir et j’ai pleurées. J’ai pleurée en demandant pourquoi tu avais fais ça. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là a pleurer. Puis j’ai ouvert le paquet. Il contenait deux boite. Dans la première, une chaîne avec un cœur marqué « je t’aime ». Dans l’autre, une bague avec un petit mot :
« Si j’avais été moins con, je t’aurais offert cette bague et je t’aurais demandé si tu accepterais de te fiancé avec moi. Si j’avais vu plus tôt… »
J’ai tout remis dans les boites. Je me suis allongée sur le trottoir, j’ai regardé le ciel. 1000 étoiles y brillaient. Tu étais parmis elles. Une étoile de plus, un ange de plus. Le plus bel ange que le ciel est connu. J’ai fermée les yeux, les larmes coulaient toujours, mon cœur ne battait plus. Personne n’a jamais compris pourquoi je ne me suis pas réveillée. Ils m’ont retrouvé allongé sur le dos, la tête tournée vers le ciel, les yeux clos à jamais.